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Cath, libérée enfin...
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Cath, libérée enfin... Cath était une femme timide, réservée, un peu sauvage. Elle aimait vivre dans sa campagne, loin des tracasseries de la ville. Pour autant, même si elle s'était protégée, existence n'avait pas été simple, pas foncièrement triste mais pas d'une gaité débordante non plus. Elle s'était habituée à sa vie avec cet homme dont elle s'était éprise très jeune, mais au bout de quelques années il lui avait bien fallu s'avouer qu'elle avait fait un choix par défaut. Elle rêvait secrètement de quelque chose de plus grand, de plus beau, que ce quotidien qui peu à peu s'était avéré morne et sans issues. Cet homme n'aimait en elle que sa jeunesse, lui qui était ainé de quinze ans, mais contrairement à ce que l'on pourrait penser, il n'était pas libidineux, bien au contraire, et après les premières années durant lesquelles il avait rempli devoir conjugal sans fioritures, elle n'était plus apparue à ses yeux que comme une jeune femme, qu'il considérait comme sa fille, et qu'il n'envisageait même plus d’honorer en tant que épouse. Constatant le naufrage de sa sexualité, elle avait cherché l'amour de tout cœur, pur et honnête, en secret, sans oser se l'avouer vraiment, et sans vouloir faire de mal à celui qui lui prodiguait des attentions de père mais ne créait pas en elle les ondes du plaisir. Après douze ans de vie commune, elle avait accepté de répondre à cet appel de corps et de se donner à un homme, rencontré sur un site où elle trainait discrètement sa mélancolie, sans avoir osé jusqu'alors franchir le pas. Elle l'avait fréquenté quelques temps, en cachette, découvrant que corps avait beaucoup plus de choses à lui dire qu'elle n'aurait pu l'imaginer. Elle qui n'avait jamais connu le plaisir d'une langue masculine sur sexe, avait fondu, coulé et giclé pour la première fois de sa vie sous les attentions de cet amant prévenant. Ainsi sa vulve lui avait été révélée comme le calice où un mâle pouvait chercher à s'abreuver à la source de la féminité et pas seulement un "trou" où, vaguement, subrepticement, plonger membre avant de se retourner pour dormir. Il avait pris un plaisir sans bornes à téter ses seins, à faire gonfler sa poitrine généreuse et ferme par des attentions dévouées et malicieuses. Elle avait pu, enfin, prendre dans sa bouche un sexe masculin, sentir un gland se glisser entre ses lèvres, puis, libérant un fantasme resté jusqu'alors insoupçonné, l'avaler totalement pour le sentir taper au fond de sa gorge. Oui, Cath était gourmande, très portée sur le sexe, follement insatiable, cela était clair maintenant et, elle qui l'avait nié, bâillonné, refoulé, se laissait aller totalement à ses envies de luxure et de folles transgressions. amant ne faisait pas que lui dévorer sa corolle débordante de flux océaniques, il la prenait dans des positions dont elle ne connaissait pas même l'existence, la pénétrant délicatement, totalement, impérieusement, dans des enchevêtrements sans limites. Il aimait aussi à solliciter une zone de intimité qu'elle avait toujours considérée comme tabou, mari ne l'ayant jamais stimulée, lui qui n'aurait pas même posé regard sur sa vulve, c'était petit trou. Elle découvrit les délices d'une langue aventureuse qui se pose sur les plis en étoile, d'un doigt humide qui joue avec l'anneau serré, le sollicite et le masse doucement pour l'ouvrir peu à peu. Quand il la prenait dans la position d'Andromaque, il aimait à lui pénétrer l'anus de majeur alors que pénis travaillait sa matrice, et que de autre main il faisait rouler "bouton" entre le pouce et l'index. Elle s'était habituée progressivement aux sensations agréables de ces pénétrations multiples, qui par instants la portaient à un trouble tel qu'elle n'aurait plus su dire d'où venait le plaisir ; vagin, anus, clitoris, toutes ses perles se rejoignaient sur le collier de la jouissance. Un jour, il lui avait demandé s'il pouvait la sodomiser. Un peu réticente au départ, elle avait accepté de donner à cet homme la fleur de cul, l'hymen de sa dernière barrière, le symbole de sa libération. Il l'encula, et, tout excité, il le lui fit savoir par des mots doux et très osés, alors que chibre avait pris entièrement possession de petit trou. Elle sentait ce barreau dur, intrusif, "violeur", qui lui labourait lentement le fondement, mais elle ne put tenir longtemps et lui demanda de cesser. La première expérience s'était révélée douloureuse, ce en quoi initiateur lui avait répondu que c'était assez normal et que peu à peu, en lâchant prise, en s'ouvrant totalement, elle finirait par ressentir autre chose que cette impression de vouloir aller aux toilettes et cette douleur crispée. Et ce fut vrai, puisque la fois suivante, une impression de quelque chose de "pas désagréable" se propagea dans ses entrailles, pour finir par devenir une jouissance folle après quelques semaines. Elle avait connu l'orgasme anal, elle avait découvert les joies de jouir dans la bouche d'un homme, elle avait pu avaler la semence de celui qui lui avait ouvert toutes ces perspectives, elle avait posé ses mains sur chaque parcelle de ce corps viril, et connu la joie d'être une lyre sous les doigts de amant, ils avaient atteint des sommets de sexe et de folie, et un jour, elle osa, enfin, dire à époux qu'elle allait partir, qu'elle n'éprouvait plus rien, et que leurs routes allait se séparer irrémédiablement. Elle se retrouva libre enfin de vivre sa passion au grand jour, mais amant, qui aimait par dessus tout n'être qu'un amant, se désengagea peu à peu de leur histoire, puis la poussa à la rupture par trop de faux fuyants. Elle est seule à cette heure dans sa maison perdue dans sa campagne, et elle cherche sur le site, un homme qui aura la ferveur de l'amant et l'âme d'un compagnon. Saura-t-elle le trouver ?  |
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Merci pour le commentaire sympa... flatté que mes personnages puissent provoquer un sentiment "d'identification" avec les lectrices ou lecteurs... 
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Comme je vois, tu es chaud comme l'iceberg en train de fondre!! Didier. 
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Libérée, délivrée...et la reine des neiges découvre le plaisir de déguster un esquimau et de se faire dégivrer le glacier.....Roooo, je n'ai pas pu résister....incorrigible que je suis....  Didier. MIEUX VAUT ETRE BOURRE QUE CON......CA DURE MOINS LONGTEMPS!!!!!!!
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Libérée?? Délivrée?? Didier.
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J'aime bien. arriveras-tu à évoquer un peu plus le ressenti de la dame ? un peu, pas trop dans celui-ci je tente de le faire, sans pour cela abandonner mon écriture masculine..c'est une volonté, car je sais que les mieux placées pour parler de ce point de vue, ce sont les femmes....Je rends à Aphrodite ce qui lui appartient et ne cherche à le lui disputer... Pour ma part je laisse la part fantasmatique du "mâle" agir comme un filtre sur ce qu'il perçoit du plaisir et du désir de cette femme, Est-il objectif ce mâle ? Certainement pas, même s'il cherche au mieux à s'en approcher...je verrai si je puis et souhaite m'en Rapprocher plus.... Mais je vous entends et vous remercie de votre compliment et de votre commentaire
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Libérée?? Délivrée?? Didier. MIEUX VAUT ETRE BOURRE QUE CON......CA DURE MOINS LONGTEMPS!!!!!!!
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J'aime bien. arriveras-tu à évoquer un peu plus le ressenti de la dame ? un peu, pas trop
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Merci de votre commentaire qui me va droit au cœur...ne craignez pas, elle n'est pas triste, elle cherche cet homme, elle est patiente, elle a des réserves de joies à expérimenter.
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Merci pour cette nouvelle histoire, j'apprécie toujours autant de te lire Bises
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Merci pour cette nouvelle histoire, j'apprécie toujours autant de te lire
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Bonjour Dayathink Merci de nous faire d'aussi belle description de personne digne de roman ♥ Poton ♥ Bisou ♥ Annie ♥ et me donne envie de continuer Potons Daya
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Bonjour Dayathink Merci de nous faire d'aussi belle description de personne digne de roman ♥ Poton ♥ Bisou ♥ Annie ♥
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Merci de ton compliment et de cet encouragement très touché
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Une autre histoire d'amant "initiateur" qui finit par partir, mais celle-ci dans un registre moins égrillard et moins humoristique et ou le point de vue et le ressenti de la dame sont privilégiés... petite variation qui m'est librement inspirée d'une histoire vraie... hommage à celle qui me l'inspira
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Notre vie est un voyage-♦-Dans l'hiver et dans la nuit
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